A payé pour son forfait dans les mots croisés

Cette expression fait référence à une personne qui a subi les conséquences de ses actes répréhensibles ou de ses erreurs. Le mot "forfait" désigne ici un crime, une faute grave ou un acte condamnable, et "payer pour" signifie subir une punition ou des conséquences négatives en retour.

Dans le contexte des mots croisés, cette définition évoque généralement le concept de justice ou de rétribution, où quelqu'un reçoit ce qu'il mérite après avoir commis quelque chose de mal. L'expression souligne l'idée que nos actions ont des répercussions et que tôt ou tard, nous devons assumer la responsabilité de nos choix.

  • 6 lettres: ABONNÉ

Exemples de mots croisés

  • A subi les conséquences de ses actes
  • A eu ce qu'il méritait après sa faute
  • A reçu sa punition méritée
  • En a subi les conséquences fâcheuses

Synonymes et expressions équivalentes

L'expression "a payé pour son forfait" peut être remplacée par plusieurs synonymes et tournures similaires :

  • "A expié sa faute" - souligne l'aspect de réparation morale
  • "A subi les conséquences" - met l'accent sur l'effet direct des actions
  • "En a fait les frais" - expression familière indiquant qu'on a supporté les désagréments
  • "A reçu son châtiment" - évoque une punition formelle
  • "A été puni" - forme directe et simple
  • "L'addition lui est arrivée" - métaphore moderne du règlement de compte

Étymologie et origine de l'expression

Le terme "forfait" provient du vieux français "forfaire", composé du préfixe "for-" (indiquant l'excès) et du verbe "faire". Littéralement, cela signifie "faire au-delà de ce qui est permis" ou "mal agir".

L'expression "payer pour" utilise une métaphore commerciale où les conséquences négatives sont assimilées à une dette qu'il faut régler. Cette image du "paiement" renforce l'idée d'un équilibre à rétablir, d'une justice qui s'exerce naturellement.

Usage dans la littérature et la culture

Cette notion de rétribution traverse la littérature française depuis des siècles. On la retrouve chez Corneille dans ses tragédies où les héros "paient" leurs crimes par leur mort, ou chez Victor Hugo dans "Les Misérables" où Jean Valjean paie longuement pour son forfait initial.

La morale populaire française regorge d'expressions similaires : "Qui sème le vent récolte la tempête", "Tout se paye", ou encore le proverbe "Il n'y a pas de fumée sans feu". Ces dictons reflètent une croyance profonde dans la justice immanente.

Variantes linguistiques et registres

Selon le contexte et le registre de langue, cette idée peut s'exprimer différemment :

  • Registre soutenu : "Il a expié ses crimes", "La justice divine l'a rattrapé"
  • Registre courant : "Il a eu ce qu'il méritait", "Ça lui apprendra"
  • Registre familier : "Il a morflé", "Il s'est fait avoir", "Ça lui retombe dessus"
  • Registre populaire : "Il a trinqué", "Il a dégusté", "Il s'est pris une rouste"

Questions fréquentes

Quelle est l'origine de l'expression "payer pour son forfait" ?

L'expression "payer pour son forfait" trouve ses racines dans le français ancien, où "forfait" désignait un crime ou une transgression grave. Le verbe "payer" évoque l'idée de compensation ou de réparation. Cette locution illustre le principe universel de justice selon lequel toute action répréhensible appelle une conséquence proportionnelle.

Comment utilise-t-on cette expression dans la vie quotidienne ?

Dans le langage courant, on dit qu'une personne "a payé pour son forfait" lorsqu'elle a subi les conséquences négatives de ses actes répréhensibles. Cela peut concerner des sanctions légales, sociales ou morales. Par exemple, un politicien corrompu qui perd son poste ou un fraudeur qui est condamné par la justice.

Existe-t-il des synonymes pour cette expression ?

Plusieurs expressions équivalentes existent : "récolter ce qu'on a semé", "subir les conséquences de ses actes", "payer les pots cassés", "expier sa faute" ou encore "recevoir son châtiment". Toutes ces locutions véhiculent l'idée de rétribution et de responsabilité face aux conséquences de nos actions.

Pourquoi cette expression apparaît-elle souvent dans les mots croisés ?

Cette expression est populaire dans les mots croisés car elle offre de nombreuses possibilités de définitions créatives et évoque un concept universel facilement compréhensible. Les cruciverbistes apprécient sa richesse sémantique qui permet de jouer sur les notions de justice, de conséquences et de responsabilité morale.